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De Natalya Hazinsky - Notre cas (Les répressions contre les Chrétiens en Israel)

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De Natalya Hazinsky - Notre cas

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Cher Monsieur ou Madame!

Notre cas est clair et simple. Pour nous l'affaire de notre destin n'est pas juste une affaire de vie - et - de mort pour nous-mêmes, mais encore une dernière frontière des problèmes de la dignité humaine et de droits. Nous étions réellement trompés et maltraités par un gouvernement étranger, et notre fils a étè kidnappé par le même gouvernement. Cependant, les circonstances et certains détails étaient d'une manière ou d'une autre compliqués, et l'affaire comme tout trop délicate. Quiconque aurait le courage de nous aider doit se préparer à décharger certains stéréotypes. L'état, qui a "kidnappé" notre fils (et nous) est "intouchable". Malgré des violations dramatiques de droits de l'homme, esclavage, et ignorance des normes internationales, cet état gagnait un privilège spécial de ne pas être critiqué ou boycotté. Cela fait notre tragédie plus complexe et profonde.

Nous sommes Natalya et George HAZINSKY, ex-citoyens de Kazakhstan. À un certain "moment" de notre vie nous avons découvert que nous n'appartenons plus au groupe de "vrais" citoyens. Même parmi les Kazakhs eux-mêmes il y avait une large division tribiale, mais de ne pas être un Kazakh au Kazakhstan devenait complètement "illégal". D`origine Georgianienne, George ne s`est jamais senti confortable au Kazakhstan. Tout devenait même pire après qu`un état Musulman s`était établi là. Il était sévèrement battu et blessé, notre fils était battu avec les complications des blessures. Nous avons cherché des possibilités à échapper de Kazakhstan.

Malheu reusement pour nous, le seul état, où nous pouvions partir, traite toujours d'instabilité et de persécutions dans diverses parties du monde pour recruter des victimes comme des immigrants, qu'ils requéraient pour le travail manuel uniquement comme l`esclavage ainsi que pour l`armée. En ce temps-là, nous ne connaissions pas ça. Parce que la vie en Kazakhstan devenait insupportable, nous sommes partis pour ce pays, que nous imaginions différemment de ce qu'il devenait pour nous.

Cependant, nous ne pensons pas que notre cas devrait être politisé. Nous ne voulons pas blâmer des régimes politiques pour notre souffrance. Ils sont ce qu'ils sont. Pour un nombre de gens la vie là-bas semble et est normale, même si ils vivent sous les régimes les plus monstrueux. Le tribunal de réfugié à Canada ne comprenait pas ou ne voulait pas comprendre que nous n'essayions jamais de blâmer tout le régime politique. Est-ce que vous pouvez blâmer une tornade (qui ne nuit pas à des milliers de gens mais ruine votre maison), ou un météore, ou un vent, ou un tonnerre?

Cependant (indépendamment de cette attitude), nous devons accentuer le fait que de la perspective Canadienne, notre situation devrait être inacceptable. Si le tribunal regardait en notre cas par un prisme des normes Kazakhstaniennes ou Israéliennes, alors les conclusions qu`ils faisaient étaient évidentes. Une question que nous voulions demander au tribunal était la suivante: est-ce que nous pourrions être traités selon des normes Canadiennes avant de devenir des Canadiens? C'est ce qui nous ennuie. Alors - le tribunal ne comprenait pas (ou ne voulait pas comprendre) que l'expression "votre pays" ne correspond pas à notre situation, surtout à George. Il est un réfugié de Abkhazia dans la deuxième génération (sa famille s`est enfuie de Abkhasia en résultat du conflit Abkhasian-Georgian, déchargeant la propriété entière, maison, tout ) , et perdu tous les liens avec Georgia. Il n'a pas citoyenneté de Georgia, et perdait la citoyenneté de Kazakhstan, qui n'était pas "son pays" n'importe comment.

Le tribunal n`a jamais douté des persécutions, discrimination et assauts, que nous affrontions au Kazakhstan et en Israel. En même temps (en refusant de nous reconnaître comme réfugiés), le tribunal (ainsi que la cour Fédérale) a démontré une incapacité à regarder notre cas par une perspective non - politisée. Autrement dit, aucune solution n'était donnée à nous dans notre situation extrême.

Nous pensons que c`est arrivé parce qu'ils ne trouvaient aucune solution de comment classer la pagaille administrative de notre statut, et notre relation à l'état d'Iraël.

Les pratiques internationales d`immigration légale les plus communes requièrent

automatiquement la remise de la citoyenneté ou de la résidence permanente aux immigrants.

Cependant, notre situation le contredisait. Comme nous recevions les visas Israéliens d'immigrants, nous devrions attendre la citoyenneté Israélienne (un statut de résidants permanents n'était pas attendu parce que: 1) normalement il n'est pas pratiqué en Iraël 2) il est incompatible aux lois internes Israéliennes, qui fait la vie d'un résidant permanent impossible là).

Cependant, en Israël nous n`avons pas reçu la citoyenneté automatiquement. Au contraire, nos passeports de Kazakhstan et les autres documents ont été confisqués, et nous étions poussés par une procédure ridicule de définition de nationalité, avec notre statut de citoyenneté devenant dépendant de ses résultats. Nous avons découvert que nous n'étions pas administrés de Tveria mais de Jerusalem.

Il est important de mentionner qu`en Israël votre vie sans le "teudat zehut" (il joue un rôle d'un passeport interne, mais par erreur interprétait souvent comme une " carte ID") est impossible . Sans TZ vous ne pouvez pas entrer dans aucune institution publique, incluant l'école. Vous pouvez aussi être arrêtés par la police à tout moment pour ne pas porter le TZ sur vous (etc.) Nous étions laissés sans le TZ depuis Septembre jusqu'à Février 1999. Il est évident que le retard était employé par Jerusalem pour nous empêcher de revenir à Kazakhstan. Ils devaient connaître la loi de citoyenneté de Kazakhstan, et quand après Février 1999 nous sommes allées au consulat de Kazakhstan, on nous a dit qu'après 3 mois sans l'enregistrement nous avons perdu la citoyenneté, et maintenant ne pouvons pas revenir à Kazakhstan.

Quand nous avons reçu les TZs, notre nationalité était mentionnée comme "Russe", qui n'est pas une citoyenneté pleine: il vous fait un "citoyen" de seconde - classe. Nous avons découvert aussi que la citoyenneté Israélienne a été refusée à nos enfants du tout. De la perspective des normes civilisées il semble absolument ridicule: les parents ont reçu la citoyenneté, et les enfants pas! C'est une division administrative d'une famille. On la divise!

En Iraël, nous étions toujours effrayés que nos droits parentaux pourrait être pris ainsi que nos enfants. C`est arrivé partiellement (nous signifions la situation de notre fils aîné). Nous pourrions prouver que le statut de nos enfants en Israël n'était pas égal à la définition légale du statut de résidence permanente des pays occidentaux. Si quelqu'un insiste que nos enfants avaient un statut de résidence permanente en Israël, nous ne sommes pas d`accord. Nous pourrions soumettre la preuve entière ultérieurement.

Cependant, seulement un fait doit convaincre chacun: notre fils était admis à l`équipe nationale de water - polo d'Israël, et devait participer dans la compétition internationale en Hollande, mais on lui a officiellement (!) refusé (par le Ministère Israélien d'Affaires Internes) un laisser - passer "parce qu`il n'était pas un citoyen Israélien"(!).

Nous ne parlons même pas du trauma, des persécutions et des agressions (même psychologiques). Ils étaient évidemment programmés par notre situation staturielle et provoqués par une propagande Israélienne officielle anti - Chrétienne et raciste. Dans les plupart pays du monde les non - citoyens ne sont pas pris au service militaire obligatoire. En Israël ils sont pris. En Israël un résidant permanent (non-citoyen) n'est pas légitime à ouvrir une affaire, acheter une maison et / ou un terrain!

À cause que Israël reconnaît seulement un mariage religieux Juif, nos enfants étaient considérés comme "mamzerim" ("bâtards", intouchables) - et n'avaient pas de droits à voyager avec nous. Nominalement, ils n'étaient pas traités comme nos enfants du tout. "Les bâtards" ("mamzerim") aussi n'ont pas de droits en général en Israël: ils ne peuvent pas marier un Israélien, ils ne peuvent pas travailler dans les institutions d'état, achèter de la terre, ouvrir une affaire, etc.

Dans la violation de certains règlements internationaux et Israéliens, notre fils aîné était pris à l`armée Israélienne contre sa volonté. Comme nous (ainsi que nos amis) nous rappelons, dans une des brochures de Sochnut, il était écrit que seulement des volontaires pourraient servir dans l'armée Israélienne sans la citoyenneté Israélienne.

Cependant, c`est une norme qu`en Israël il y a toujours plusieurs lois contredisant les autres. L'Israël n'a aucune constitution et / ou codes juridiques stables. Il a seulement certains règlements communs - généraux et la loi d'un précédent. Tel système a été créé pour concevoir une injustice totale, et permet (au lieu de justice) le soi-disant " droit de téléphone", ou une "loi" de connection-confrérie de famille - amitié - raccordements d'armée. Ce système faisait des tortures (la loi de Landau ) et des persécutions aux Chrétiens (particulièrement le bill 174N~) absolument légal en Israël. Nous ne donnons pas cette expliquation comme une manifestation politique, mais juste pour montrer comment compliquée est l'affaire. Une autre loi Israélienne interdit de prendre aux soudures militaires les gens, dont les parents ne sont pas dans le pays. Notre fils était pris à l`unité militaire de bataille "Golani", une formation militaire descente . Pour Israël, les jeunes hommes comme notre fils sont otages, esclaves, dont le statut dans l'armée Israélienne est égal aux esclaves enchaînés à bord des navires militaires anciens. Les tactiques de ne pas leur donner la citoyenneté Israélienne est une méthode à les garder emprisonnés à l'intérieur du pays, ce qui signifie réellement - dans l'armée. Les autorités israéliennes mettent le statut de citoyenneté pour tels jeunes hommes à la dépendance du service militaire, proclamant que "cette question" pourrait être évaluée seulement après la fin de celui-ci.

Quand, même une catégorie de "citoyens" avec les remarques dans le passeport interne - "Russe" ou "nationalité n'étant pas définie", n'ont pas de droits ou de protection en Israël, des gens comme notre fils sont totalement sans droits. Dans l'armée, notre fils a déjà des problèmes terribles, mais nous ne pouvons pas les décrire précisément - parce qu`en revanche, notre fils peut être battu ou même tué. Nous considérons le fait que notre fils, pas un citoyen Israélien, a éte pris au service militaire obligatoire comme s'il était kidnappé et pris loin de ses parents.

L'armée israélienne est un outil à convertir les non - Juifs au judaïsme par la force. Quand notre fils était oubligé de prendre le serment militaire sur la Tora, il demandait une Bible, mais en réponse, il a reçu de telles menaces, qu`il devait obéir - et prendre le serment sur la Tora. Dans notre dossier humanitaire, nous avons un article par rapport à l`annonce d`un général Israélien qui dit que tous les non - Juifs dans l'armée Israélienne devraient être forcés d`aller pour le "giyur".

Nous tournions aux avocats et politiciens Israéliens célèbres, au Ministre des Affaires Internes et à d`autres institutions, personnalités et politiciens. Tous ceux-ci disent qu'Israël est un état anti-non-Juif (anti - Chrétien), et que les non - Juifs ne devraient pas venir là. Ils disaient que l'état d'Israël a été conçu si bien que les non - Juifs ne devraient pas être capables de travailler, vivre, et même exister en Israël. Vous pourriez apprendre qui et comment dit celà dans notre dossier de réfugié.

Cependant, - encore - nous ne politiserons pas notre cas par les étiquettes comme "racisme" et "guerre non déclarée contre les chrétiens". Ils ont leurs traditions et lois propres, que nous pouvons respecter aussitôt qu'ils s`appliquent aux gens, qui sont venus en Israël à cause de leurs croyances nationalistes ou sont nés en Israël. Aussitôt qu'ils essaient de prolonger ces lois sur des gens comme nous - citoyens étrangers, Chrétiens, - nous gardant en Israël comme des prisonniers: seulement alors c`est inacceptable. Il est clarifié que l'état d'Israël n'accomplit pas des obligations d'immigration envers nous. En réalité, nous n`avons jamais immigré en Israël et ne pouvons pas être considérés comme des citoyens Israëliens.

Nous avons pu partir d`Israël et prendre notre plus jeune fils en-dehors de ce pays seulement par une voie illégale et dangereuse. Cela est la preuve comment désespérés nous étions et comment sérieuse était notre situation. De plus - le Panneau de IRB à Montréal écrivait à la page 2 de leur décision le suivant:

'Le tribunal ne doute pas que les non - Juifs puissent être victimes en Israël de discrimination, de harcèlement ou d'agressions, dans certaines circonstances particulières et dans certains milieux particuliers'.

Si, même IRB dans une voie a reconnu nos évidences fidèles, la réalité est vraiment laide pour des étrangers en Israël.

Aussi, parce que nous partions d`Israël en utilisant un autre passeport pour sortir notre enfant illégalement du pays sans le statut, sur le retour hypothétique, il existe un danger que nous devrons affronter l`emprisonnement pour cela. Qu'est-ce qui arriverait avec notre enfant si nous étions dans la prison juste parce que nous voulions sauver notre enfant de la manifestation d'hostilité envers lui?

Nous courions pour nos vies. Si maintenant nous étions puissamment obligés de retourner en Israël, nous serions punis! Notre plus jeune fils serait pris loin de nous pour sûr et serait convertis en judaïsme. Notre cas est la dernière frontière, dernière limite à défendre la civilisation Chrétienne. Nous croyons que derrière les décisions injustes du tribunal de réfugié et de la cour Fédérale étaient des tentatives Israéliennes à reprendre tous les "esclaves fugitifs" (c`est ainsi qu`ils considèrent des gens comme nous) vers l`Israël.

Cependant, notre souci majeur dans la situation actuelle est notre fils aîné. Il est si terrifié par une revanche éventuelle que si un représentant indépendant devrait lui demander s'il sert volontairement dans l'armée Israélienne, il dirait "oui". Jusqu'à ce qu`il se trouve en Israël il sera lié à cette réponse. Nous pouvons seulement témoigner qu'il était pris à l`armée Israélienne selon la loi Israélienne du service militaire obligatoire. Nous avons un des ordres d'armée soumis à notre fils pour le service militaire obligatoire. Si requis, nous pouvons envoyer une copie et la traduction de ce document. N'importe comment, administrativement notre fils a été pris à l`armée Israélienne, et c'est le problème principal.

S'il vous plaît, conseillez-nous, que faire.

Nous espérons que ce document sera gardé confidentiel, en-dehors de la connaissance du brutal régime Israélien.

Salutations distinguées, Natalya HAZINSKY

29.07.2001



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